Le jour où son mari prend une balle en pleine tête, elle découvre qu'elle ne le connaissait pas vraiment. Tué dans un règlement de comptes. Son avocat lui conseille de rester à l'écart de ses affaires et insiste pour qu'elle renonce à¿ hériter de ce qui lui revient de droit : le quasi-monopole de la prostitution à Copenhague. Les commanditaires du meurtre vont se partager son empire, et ça a l'air d'arranger tout le monde... Sauf ce soldat, vétéran des rings et de la rue, qui a travaillé pour son mari et qui lui a juré qu'il prendrait soin de sa famille en cas de problème... Doit-elle le croire? Ces deux-là ne se connaissent pas. Ils n'ont rien en commun ¿ à part le souvenir d'un homme auquel ils veulent rester fidèles. Ensemble, ils iront jusqu'au bout...\n\nAvec ce nouveau roman à l'écriture singulière et sensitive, le «prodige du polar» (Transfuge) confirme les attentes d'un James Ellroy qui disait il n'y a pas si longtemps «Jérémie Guez aurait dû gagner le prix Nobel de littérature en 1957... mais il n'était pas encore né.» Les Ames sous les néons est le cinquième roman de l'écrivain âgé de 32 ans, révélé au grand public avec Balancé dans les cordes, lauréat du Prix SNCF du polar, adapté en pièce radiophonique par France Culture et au cinéma par la Gaumont. Son écriture très cinématographique a été un ticket d'entrée pour le 7e art. Scénariste de films à succès tels que Yves Saint-Laurent ou Rebelles, son second long-métrage Sons of Philadelphia avec Matthias Schoenaerts sort en salle le mercredi 26 2021. \n\n\n\n\n\n\nREVUE DE PRESSE \n\n\n\n\n\n\n«Révélé au grand public avec Balancé dans les cordes (La Tengo, Prix SNCF du polar 2013), Jérémie Guez, 32 ans, en a visiblement sous le pied. C'est cash, c'est trash. C'est pas tiède. On aime ou on n'aime pas. Nous, on aime.» Alexandra Schwartzbrod, Libération\n\n«Les Ames sous les néons est un récit foudroyant à la forme aiguisée, l'histoire de cette veuve et de cet homme de main, de deux vies brisées, de nuits blanches que rien n'éclaire», Sacha Azoulay, Le Monde\n\n«¿Cinq romans noirs et deux films de la même couleur au compteur à 33 ans, l'autodidacte n'a pas à rougir de son palmarès¿», Jérémie Couston, Télérama\n\n\n«¿Talent à suivre. Jérémie Guez s'impose comme le nouvel ambassadeur du polar français¿», Stéphanie Belpêche. Le portrait de Jérémie Guez dans Le Journal du dimanche à l'occasion de la sortie en salle de Sons of Philadelphia. \n\n «¿Un excellent polar qui se déroule dans le milieu de la prostitution à Copenhague¿», Catherine Balle, Le Parisien\n\n«Écrivain enragé et cinéaste audacieux, Jérémie Guez publie un polar fascinant. A 32 ans son parcours est déjà imposant» Jean-Philippe Bernard, La Liberté\n\n\n\n«Les mes sous les néons est un grand roman noir, servi par le style de Jérémie Guez. Un style simple, sec et puissant, comme une série d'uppercuts dont il est difficile de se relever.» Laurent Greusard, K-Libre\n\n«Les Âmes sous les néons est un roman magnifique qui transpire l'humanité.» Lynchmaniac, Plume libre\n\n«Un slam rap brillant, une poésie noire et moderne, un nouveau coup de pied au monde du polar.» Pierre Faverolle, Black Novel\n\n«Avec ce style si brillant qui n'est jamais de l'esbroufe gratuite, Jérémie Guez propose un roman cinglant et atypique qui en impose.» Fred Teper, Les Chroniques de Cliffhanger & Co\n\n«Un livre assez bluffant» JMG, Diaspora Galactique\n\nUn polar terriblement efficace» Yann, Encoredunoir.com\n\n\n\n«Sec, terriblement efficace mais loin d'être sans âme, une excellente série B.» Jean-Marc Laherrère, Actu du Noir\n\n\n\n«Un court roman noir qui flashe au moins autant que la couverture. Une vraie réussite!» Jacques Lerognon, «Ondes noires», l'émission de La Noir'Rôde sur l'actualité du polar\n\n\n\n«On retrouve le Guez que l'on aime, scandant sa prose sur un tempo que n'aurait pas dénigré Akhenaton.», Christophe Laurent, Corse matin